Aloe Vera pour les ulcères gastriques chez le cheval.
90% des chevaux de course, de CSO en sont affectés. Le gel d’Aloe Vera, quotidiennement absorbé par le cheval, est un excellent complément pour corriger ce problème. Notre expérience sur cette pathologie nous a permis d’élaborer un programme spécifique, avec la seule pulpe d’aloes Forever, permettant dans la majorité des cas de faire disparaitre totalement les signes cliniques d’ulcères. Le cheval retrouve au bout de 2 mois un état général que l’on ne lui connaissait plus. Il peut reprendre une activité normale… juste maintenir à période régulière une cure de Gel afin de ne pas générer une nouvelle irritation des muqueuses. A chaque cheval, selon l’importance de l’ulcère, nous adaptons notre programme.
Composition de l’estomac du cheval
Comment est composé l’estomac du cheval ? L’estomac des chevaux se compose de deux parties, recouvertes chacune d’un type de muqueuse spécifique : en partie haute, une muqueuse squameuse, en partie basse, une muqueuse glandulaire qui a pour rôle est de sécréter les sucs gastriques. Les aliments pénètrent ainsi dans l’estomac par un orifice nommé cardia, traversent les deux parties séparées par une ligne appelée margo plicatus et ressortent par le pylore pour atteindre enfin le duodénum
Définition de l’ulcère
Qu’est-ce qu’un ulcère ? Un ulcère gastrique est une érosion de la muqueuse de l’estomac qui, agressée, s’affine progressivement. Cette perte de substance peut atteindre des stades divers, jusqu’à provoquer des saignements, voire une perforation totale de la paroi de l’estomac, générant une péritonite souvent fatale. En temps normal, la muqueuse est protégée par différents éléments : un mucus gastrique, le flux sanguin, le renouvellement cellulaire, les prostaglandines E2, et la motilité gastrique. Mais un déséquilibre entre ces facteurs protecteurs et d’autres facteurs agressifs peut causer l’apparition d’ulcères. Ainsi l’excès d’acidité occasionnera souvent des lésions de la muqueuse squameuse de l’estomac ; de même que dans la muqueuse glandulaire, une diminution des facteurs de protection engendrera des lésions d’ulcération. C’est le pH qui permet de connaître précisément l’acidité gastrique. Se situant en moyenne autour de 4 à 5, il peut parfois chuter en dessous de 2 quand l’estomac reste vide pendant une longue période. Du foin à disposition ou la possibilité de brouter tout au long de la journée contribuent à le faire remonter. À l’inverse, la prise d’aliments concentrés crée une augmentation brutale de la sécrétion de sucs gastriques, favorisant l’apparition d’ulcères.
Pourquoi faut-il surveiller particulièrement les foals ? La moitié des foals, sans que l’on puisse en détecter les symptômes, présentent eux aussi des ulcères gastriques. Mais, méfiance ! Si les signes cliniques font leur apparition, ils laissent présager une évolution plus grave de la maladie chez l’adulte car dans ces cas, le duodénum est souvent atteint et entraîne des risques plus importants de perforation. Lors des maladies, on constate souvent une dégradation de l’état général qui favorise également l’apparition d’ulcères. Sans doute est-ce dû à la diminution du flux sanguin dans la muqueuse gastrique. Pour cette raison, en milieu hospitalier, on administre généralement aux foals un traitement préventif des ulcères en parallèle du traitement de la maladie d’origine. D’autres traitements, tels les anti-inflammatoires non stéroïdiens, sont eux aussi ulcérogènes.
Quelles sont les complications possibles ? La complication la plus grave des ulcères gastriques est la perforation de la paroi gastrique ou duodénale. Elle engendre une péritonite plus ou moins localisée qui peut être fatale. Dans les autres cas, la cicatrisation peut entraîner une fibrose cicatricielle de la muqueuse gastrique augmentant ainsi le risque de désordres intestinaux. Cela provoque un inconfort abdominal important et favorise l’apparition de nouveaux ulcères… Un cercle vicieux !
Les symptômes
Les signes cliniques des ulcères gastriques sont assez souvent non caractéristiques :
La grande difficulté d’établir un diagnostic précis vient du fait que les signes cliniques ne sont malheureusement pas caractéristiques et peuvent avoir des causes diverses :
Coliques, Anorexie, Bruxisme (grincement de dents), Modifications du comportement, Abattement, Décubitus dorsal (le cheval se couche sur le dos).
D’autres signes encore moins spécifiques apparaissent parfois : Hypersalivation, Bâillements, Éructation, Dégradation de l’état général et baisse des performances, Poil terne, Diarrhées intermittentes, Présence de sang digéré (noir) dans les crottins (assez rare).
Ces signes ne constituent que très rarement un tableau clinique typique ; ils se retrouvent en partie chez un individu mais pratiquement jamais en totalité, ce qui complique le diagnostic. Beaucoup d’ulcères gastriques ne déclenchent pas de signes cliniques démonstratifs, excepté chez le foal qui peut connaître des crises très douloureuses et très démonstratives.
Le diagnostic de certitude
La présence d’un ou plusieurs de ces signes cliniques doit alerter le propriétaire sur la possibilité d’un désordre abdominal d’ordre chronique ou aigu. L’âge du cheval et ses conditions de vie sont également à prendre en compte. Seule une gastroscopie peut apporter un diagnostic précis.
Déroulement de la gastroscopie : Après au moins une dizaine d’heures de jeûne, le cheval est tranquillisé. Le gastroscope est introduit par les cavités nasales jusqu’à l’estomac via l’œsophage comme une sonde nasogastrique (utilisée lors de colique). On envoie ensuite de l’air dans l’estomac, via le gastroscope pour le dilater. L’opérateur peut alors inspecter la muqueuse gastrique. Normalement, la muqueuse squameuse est blanche à rose pâle, et plutôt lisse et la muqueuse glandulaire va du rose foncé au rouge, et présente un aspect plissé. En fin d’examen, l’opérateur dirige le gastroscope dans le pylore et attend que, grâce aux contractions, il arrive dans le duodénum. Cette opération, même si elle n’est pas toujours réalisable, est très intéressante car elle permet d’évaluer la motilité de la vidange gastrique et de détecter d’éventuelles lésions plus graves du duodénum.
Les ulcères, selon leur degré d’évolution, peuvent être superficiels ou plus profonds, parfois saignants. Ils peuvent être nombreux, petits et dispersés ou regroupés en larges plaques. Ils sont le plus souvent localisés sur la muqueuse squameuse proche de la margo plicatus. Il est parfois nécessaire d’effectuer une radiographie avec un produit de contraste pour évaluer le fonctionnement de la vidange gastrique ou pour visualiser une striction (un resserrement, le plus souvent au niveau du pylore) suite à la cicatrisation d’ulcères sévères (fibrose). Dans le cas d’ulcères sévères ou si des ulcères du duodénum sont suspectés, on effectue une échographie abdominale et une paracentèse (prélèvement de liquide abdominal pour analyse cytologique, biochimique) afin de prévenir le risque de péritonite.
Etude clinique : gestion de l’ulcère gastrique
Gestion de l’ulcère gastrique Les chevaux de sport et de course sont soumis à un stress important tant au niveau de la nourriture (alimentation déshydratée, fractionnée) que des conditions de vie (stations prolongées dans des box, temps d’exercice courts mais intenses). Ces rythmes ne correspondent pas au mode de vie naturel du cheval et expliquent la fréquence des problèmes digestifs chez les chevaux de compétition et le pourcentage élevé des ulcères gastriques.
Le Gel Aloe Vera (Aloes) est un aliment complémentaire aux importantes propriétés cicatrisantes qui diminue l’incidence des ulcères gastriques et en facilite la cicatrisation. Il peut être associé aux traitements médicaux classiques en fonction de l’importance des lésions. Forever a réalisé la première étude avec une structure de recherche indépendante : Equi-test. Expérimentation sur 12 chevaux de course, 8 trotteurs et 4 galopeurs.
Leurs conditions de vie habituelles et leur alimentation n’ont pas été modifiées. Une endoscopie a été réalisée pour quantifier les lésions gastriques au moment du début de l’étude, selon l’échelle scientifique de Muir. Tous les chevaux ont présenté des lésions de grade 1 à 4. On a administré à une partie d’entre eux du Gel d’Aloe Vera, à raison de 100 ml matin et soir, séparés du repas (granulés), pendant 3 semaines.
5 chevaux témoins n’ont pas bénéficié de ce traitement sur la même période. Toutes les fibroscopies ont été filmées, les séances ont été analysées par 4 docteurs vétérinaires spécialisés en médecine équine, sans référence et dans un ordre aléatoire. Pour les chevaux ayant pris de l’Aloe Vera, une amélioration a été constatée dans plus de 70% des cas : 8 chevaux sur 12 ont présenté une diminution significative des lésions gastriques.
Forever Living Products atteste avoir obtenu des certificats d’analyse du Laboratoire des Courses Hippiques de Verrières le Buisson notifiant l’absence de contaminant – produits dopants – dans ses produits conformément à la législation.