La maladie de l’herbe chez le cheval, le poney et L’Aloe Vera Forever

Charlotte Ben Romdane sponsorisé par www.aloevera-sante-cheval.com
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La maladie de l’herbe chez le cheval, le poney et L’Aloe Vera Forever

Qu’est-ce que la maladie de l’herbe, dans quelles circonstances apparaît-elle ? Pourquoi l’Aloe Vera est essentielle pour enrayer la maladie de l’herbe?

 

La maladie de l’herbe est une neuropathie qui s’attaque au système nerveux du cheval, causée par le pâturage printanier. Mais elle reste une énigme pour les chercheurs car les causes précises n’ont pas encore été définies, de même que les symptômes restent difficilement identifiables.

Connue en anglais sous le sigle EGS (Equine Grass Sickness) ou en langage scientifique comme la dysautonomie équine, la maladie de l’herbe touche les chevaux, qu’ils soient domestiques ou sauvages, lorsqu’ils sont au pré. Il semble que les animaux entretenus au box ou ceux alternant le pré et le box soient moins touchés que ceux qui vont uniquement au pâturage.

L’âge d’exposition maximale se situe entre 2 et 7 ans, les poulains et les vieux chevaux son plus rarement atteints. Il n’y aurait pas de différence en fonction de la race ni du sexe. La période la plus favorable se situe d’avril à juin, avec un pic en mai, période où les températures se radoucissent, mais avec encore quelques gelées. Cette maladie dégénérative a une évolution très rapide, parfois foudroyante, et le taux de mortalité chez les sujets atteints est de l’ordre de 90 %.

 

Quelles sont les causes de la maladie de l’herbe ?

La recherche tâtonne encore quant aux causes exactes de la maladie, les études montrent des résultats qui, sans être contradictoires, diffèrent grandement, nous présenterons ici les diverses hypothèses, sans preuve certaine de leur exactitude. Parmi les causes probables, les études s’orientent vers la recherche de substances toxiques que les chevaux pourraient ingérer aux prés lors de la période concernée : – produites par des plantes, comme par exemple le cyanure du trèfle blanc, – produites par des bactéries (comme la toxine botulinique), des champignons (comme le fusarium) ou d’origine exogène (comme les nitrates).

Cependant, d’après les enquêtes épidémiologiques, il pourrait également s’agir d’une toxi-infection due à une bactérie présente dans le sol, en fonction de sa nature et de la quantité de tel ou tel élément chimique. Par exemple, le risque serait plus important sur des sols sableux ou riches en terreau. Autres éléments favorisant l’apparition de la maladie : une forte concentration en fer, plomb ou titane, des sols acides ou à teneur élevée en nitrates de même qu’un déficit en sélénium ou en zinc.

 

La maladie de l’herbe se transmet-elle ?

La maladie ne semble pas être contagieuse : si plusieurs cas apparaissent souvent simultanément dans un même élevage, c’est pour la simple raison que les animaux ont évolué dans les mêmes conditions et ont donc été exposés aux mêmes risques.

 

Dans quelle zone géographique la trouve-t-on ?

Elle fut découverte au début du XXe siècle en Écosse, on la retrouve actuellement en Europe du nord et de l’ouest : en Angleterre, Allemagne ou Belgique, principalement. En France, elle est plus rare, mais des séries peuvent apparaître chez les bêtes d’un même élevage.

 

Comment la reconnaître ?

On distingue trois formes de cette maladie, avec des symptômes globalement similaires : dans les trois cas, la perte de poids, rapide et importante, est un signe qui doit alerter. – Dans la forme aiguë, qui évolue vers la mort en moins de 48 heures, même si l’animal atteint ne présente pas de fièvre, il sue des flancs et de l’arrière du coude, et surtout, il manifeste de violentes coliques, et son transit digestif est totalement stoppé. Cela s’accompagne de gaz, de reflux gastriques ainsi que d’une difficulté à boire avec une salivation importante (la salive coule de la bouche). Enfin, le rythme cardiaque augmente jusqu’à 100 battements par minute (tachycardie). Dans la forme sub-aiguë, la maladie progresse sur 2 à 7 jours : on peut constater un amaigrissement rapide, accompagné d’un abattement général, dépression, doublé d’anorexie, de coliques avec crottins secs, de sudation, et tremblements musculaires (membres, paupières). Enfin, la forme chronique peut durer jusqu’à plusieurs mois, mais l’issue reste fatale dans 90 % des cas.L’animal présente un amaigrissement extrême, une attitude prostrée, de l’hypothermie, et des rhinites purulentes ou sèches.

Cependant, un diagnostic certain est difficile à établir : on pourrait croire à de simples coliques, les autres symptômes sont très proches de ceux de la rage, ou du botulisme dans la forme aiguë, et dans la forme chronique, ils peuvent évoquer une maladie hépatique, ou des parasites intestinaux. À noter que, souvent, un premier épisode de coliques s’est produit pendant le mois précédent le déclenchement de la maladie, mais le rapprochement n’est pas toujours facile à faire pour les propriétaires. Ainsi, un vétérinaire sera amené à établir une grille de score recensant les signes cliniques et critères épidémiologiques pour déterminer s’il sera nécessaire de réaliser des tests complémentaires afin de confirmer le diagnostic. Ces tests, visant à observer la dégénérescence neuronale des tissus, sont difficilement réalisables : les lésions caractéristiques se situent dans les ganglions du système nerveux autonome ou cervical, pour lesquelles les prélèvements sont complexes.

Que ce soit sur un animal vivant ou post-mortem, il est donc très difficile d’avoir confirmation du diagnostic. De ce fait, il est possible que certains cas n’aient pas été correctement identifiés et que l’on sous-diagnostique cette maladie dans le nord de la France. Lors de tests, une neurotoxine a parfois été décelée. Pour cet examen, il faut s’adresser au laboratoire de référence des Clostridies de l’Institut Pasteur.

 

Comment traiter la maladie de l’herbe ?

Jusqu’à il y a peu, la recherche ne proposait aucun traitement spécifique, seules des mesures de soutien peuvent être prises, comme rentrer le cheval au box et, par précaution, retirer les autres chevaux du pré concerné. L’administration d’antioxydants ou de stimulants de la motricité intestinale ne donnait pas de résultats assez probants pour les généraliser. Une chirurgie (laparotomie) pouvait être pratiquée pour soulager l’animal et permettait d’effectuer les prélèvements pour les tests. Cependant, même les animaux survivants conservaient une incapacité à l’effort. La dégradation de leur état physiologique obligeait souvent à recourir à l’euthanasie, malgré des apports nutritionnels adaptés. Récemment, un essai de traitement au moyen de Gel d’Aloe Vera a enfin montré des résultats satisfaisants : six animaux malades se sont vus administrer jusqu’à quatre litres de Gel d’Aloe Vera par jour. Il fut donné au début du traitement soit par un vétérinaire grâce à une sonde gastrique soit par les propriétaires qui délivraient de petites quantités à l’animal régulièrement tout au long de la journée. Tous les chevaux ainsi traités ont connu un rétablissement complet, sans séquelles postérieures. Vous souhaitez nos conseils, effectuer un achat de notre pulpe d’aloès stabilisée à froid – label International –  Forever est la seule société à détenir ce label – Brevet International   par contact sur se site ou par téléphone au 06.48.68.47.60

 

Conseils de prévention

Les causes de la maladie étant inconnues et aucun agent infectieux n’ayant pu être isolé, les conseils donnés reposent sur les constatations les plus fréquentes lors des différents cas observés. À faire : – apporter des fourrages secs, même au printemps, et alterner le pré et le box, surtout lors des deux premiers mois d’entretien au pré (enquête épidémiologique © F. Grosbois). – surveiller l’état des animaux, en particulier ceux entre 2 et 7 ans en bonne forme mais aussi ceux qui sont stressés. – Limiter le nombre d’équidés au pré, par contre, la présence de bovins sur la parcelle serait un facteur protecteur de la maladie. À éviter : – ne faire consommer que de l’herbe en croissance aux animaux. – faire paître les chevaux sur des sols riches en humus et en sable, ou dans des prés où des cas de maladie de l’herbe se sont déclarés lors des deux années précédentes (zone à risque). – la cohabitation avec des volailles ou gibiers à plumes. – les prés avoisinant les cours d’eau. En complément des mesures de précaution, il apparaît que le seul traitement s’étant révélé efficace à l’usage serait l’administration de gel d’Aloe Véra à l’animal souffrant. Il est important, étant donné la rapidité extrême de progression de certaines formes de la maladie, de procéder à ce traitement le plus tôt possible. Face à une mortalité habituelle dans 90 % des cas, le traitement au gel d’Aloe Vera a soigné la totalité des sujets atteints de la maladie, et demeure à l’heure actuelle la seule méthode ayant fait ses preuves.